Les risques du partage de contenus intimes par l’exemple

hot_wifeL’ONG brésilienne SaferNet a notamment pour vocation de sensibiliser les Brésiliens sur les dangers du partage sur internet leur vie privée : une seule image partagée peut engendrer des conséquences plus graves que prévues.

« Cela pourrait être un film, mais ça se passe dans la vraie vie« ,

est le titre de la nouvelle campagne de l’ONG, créée par Leo Burnett Tailor Made.

C’est une série d’affiches de films de fiction imaginées pour informer le public des risques de divulgation du contenu intime sur internet.

affiches-intimes

Les affiches intimes (Girlfriend-Show, Hot_Wife et Sexy_Sister_Drunk) ont été exposées dans les cinémas de São Paulo parmi d’autres affiches de films.

L’idée de l’agence est d’attirer l’attention du public sur les proportions que le partage de ces contenus peuvent prendre. Le nombre de vues de ces contenus est en effet souvent supérieur à celui d’un film à succès.

Le slogan « Réfléchissez avant de partager du contenu. L’exposition peut être plus grande que vous pensez » est là pour renforcer l’attention que les gens doivent avoir, en particulier sur les réseaux sociaux, Snapchat, Twitter ou même Facebook.

Cette campagne a été relayée notamment par O Globo, grand journal brésilien. Retrouvez l’ensemble des visuels de la campagne sur le site de SaferNet.

 

E-réputation : liste des articles intéressants de la semaine

Voici la liste des liens et articles intéressants sur le thème de l’e-réputation, lus cette semaine sur la toile.

E-réputation et carrière

Les candidats ne doivent pas oublier que les recruteurs auxquels ils ont affaire cherchent de plus en plus souvent des informations sur eux.

La réputation des entreprises et des marques

N’oubliez pas de gérer la réputation de votre entreprise et de votre marque !

Et vous, qu’avez-vous lu d’intéressant cette semaine ?

Googliser un candidat est fréquent pour un recruteur

Régionjob a publié il y a quelques semaines une grande enquête sur les méthodes de recrutement. Cette enquête pointe une pratique en lien avec la gestion de la e-réputation. Il apparait que googliser des candidats n’est pas systématique. Si cette pratique n’est pas systématique, elle n’en n’est pas moins très répandue !

googliserÀ la lecture des chiffres, les recruteurs font des recherches dans 38% des cas (27% souvent et 11% systématiquement). Ils sont 62% (36% rarement et 26% jamais) à se passer de telles recherches.
Pour les recruteurs qui réalisent des recherches en ligne, les résultats, positifs ou au contraire négatifs sont important. Pour plus de deux tiers des recruteurs, ces résultats ont conduit à donner suite ou à mettre fin au processus de recrutement.

Moralité : quand ils postulent, les candidats doivent veiller à leur réputation numérique et aux traces qu’ils laissent en ligne, volontairement ou à l’insu de leur plein gré.
La surveillance et le travail sur son e-réputation est une activité à entamer le plus tôt possible, avant de postuler au poste de ses rêves en tout cas !

Une vraie stratégie est à mettre en place pour éviter de supporter passivement des liens qui desservent les candidats.

Le principal élément de cette stratégie est la cohérence des informations disponibles sur Google et les autres moteurs de recherche. Google est a privilégier en raison de sa position archi dominante sur le marché des moteurs de recherche mais ce serait une erreur de ne pas jeter un oeil sur les résultats des autres moteurs et comparer !